Comme plusieurs le croient, la connaissance de l'histoire serait facultative. Surtout si l'intérêt ni est pas! En effet, pourquoi s'embêter des querelles de mononc' sur les histoires du passé? Pour s'obstiner sur les détails des combats d'hier? À quoi cela peut-il bien servir de savoir quel est l'auteur de la distribution des couvertures empoisonnées aux Amérindiens de la Nouvelle-Écosse? N'est-ce pas ressasser un passé par trop ancien et encombrant pour l'esprit? Regardons plutôt vers l'avant en reconnaissant tous ensemble qu'il s'agit là d'une erreur à ne pas répéter! Mais la connaissance de l'histoire, pour utiliser l'argument le plus intuitif, sert justement, d'abord et avant tout, à connaître pour éviter de répéter; prévoir pour améliorer; calculer pour organiser.